mardi 2 avril 2013

Les Souvenirs, David Foenkinos


J’attendais avec une certaine impatience de lire le dernier de Foenkinos (du moins le dernier sorti en format poche), je l’attendais comme une gourmandise qui va nous faire saliver et allumer les petites lumières du plaisir dans le cerveau…

J’avoue que je n’ai pas trouvé le gâteau au chocolat que j’attendais. Mais c’est de ma faute ! Ce n’est pas parce que les premières lignes des précédents romans de M. Foenkinos m’avaient immédiatement transportée que celui-ci serait pareil.

Même si on retrouve le style habituel de l’auteur avec ses petites notes de bas de page, l’histoire est beaucoup plus sérieuse et plus grave.
« Les souvenirs » donnent un ton de nostalgie, de bonheur manqué à l’histoire… Pour autant, l’histoire justement est douce, tendre et juste.
J’ai été attendrie par la relation entre la grand-mère et son petit fils. Mais j’ai moins été conquise par l’histoire d’amour que connaîtra ce petit fils. Pourtant, les histoires d’amour c’est plutôt la spécialité de David Foenkinos. Mais celle là est peut être trop similaire à celle des autres romans, ou alors c’est parce qu’on devine la fin, le déroulé avant que nos yeux aient parcouru toutes les pages du roman.

 Alors, c’est vrai qu’au final, j’ai du mal à cacher ma déception face à ce livre. Je crois que ma déception tient beaucoup du fait que je cherchais autre chose. J’avais envie de légèreté, d’amusement, de petits détails atypiques… Et j’ai trouvé une histoire de famille aux relations lourdes et compliquées, fatiguées et confrontées à notre époque où les liens ne font que subir le reste de notre vie. Ce n’est plus nos relations, qui guident notre vie mais on adapte ces liens aux aléas de notre quotidien… Triste réalité bien réelle.

mercredi 20 février 2013

Partir pour mieux revenir


A me lire, on croirait que je ne lis plus ! Pourtant, ce n’est pas le cas. Seulement mes dernières lectures ne m’ont pas donné envie d’en parler plus que ça.
Le dernier roman, «  Quitter le monde », mérite bien un article.


L
Le titre affiche la couleur, ce n’est pas un roman qui va vous faire sourire, ni vous remplir d’optimisme. Sur plus de 600 pages, l’espoir a peu de place. Je n’ai pas abandonné la lecture, car je ne voulais pas « abandonner » cette femme à qui traverse de telles épreuves … Je me disais, que moi, je pouvais, au moins, aller jusqu’au bout et l’accompagner. Pour certains, c’est peut être un peu maso, mais c’est pourtant ce que j’ai ressenti. Je ne pouvais pas refermer et ranger ce livre comme si de rien n’était, comme si je ne savais pas ce qu’elle endurait, comme si je n’avais rien su, rien vu…

Je ne regrette pas d’être allée jusqu’au bout car Douglas Kennedy ne cherche pas à nous rendre triste, à tomber dans le pathos, il montre que la réalité peut être horrible et qu’on ne se remet pas de chocs en claquement de doigts. Il arrive à décrire avec réalisme et sensibilité de quelle façon, on peut lentement reprendre pied.

J’avais adoré  « La poursuite du bonheur » de Douglas Kennedy et je suis tentée par « Ces instants là » sorti en poche récemment.
Ce qui est sûr c’est que « Quitter le monde » m’a marquée et que je ne vais pas l’oublier tout de suite. D’ailleurs je suis encore en train de le digérer et je n’ai pas commencé de nouveau roman pour l’instant.

Et vous, avez-vous déjà lu un livre malgré sa dureté ? Avez-vous déjà lutter pour ne pas le refermer et l’oublier ?

mercredi 2 janvier 2013

Commencer l'année au cinéma!



Ce n'est pas la première année que je me rends au cinéma le 1er janvier et à chaque fois cela m'a fait beaucoup de bien. Je crois que je devrais même le prendre comme habitude.

Parfois les lendemains de fête sont difficiles, un peu morose. Même quand on a pas fait la fête, je pense que c'est bien de commencer par une bonne séance d'émotions et de se laisser emmener dans un autre monde. Ca nous emmène dans un autre monde pour ensuite, mieux se recentrer sur l'essentiel!

Enfin pour obtenir cet effet là, il vaut mieux éviter les films d'actions car personnellement ça ne me fait pas ce genre d'effet...

2013 a commencé avec "Comme des frères".
Sorti au mois de Novembre, je n'en avais pas entendu parler ou alors je ne m'en souvenais plus...


C'est un film comme je les aime: une histoire simple, des bons acteurs, une super BO (Revolver) et des émotions... Du rire et des larmes.

Je suis  ressortie de cette séance pleine de bonnes choses dans la tête avec l'envie de profiter du monde qui m'entoure, de mes proches...


De quoi ça parle? De trois amis qui font un voyage en hommâge à leur amie commune qui les a quittés. Trois personnes aux tempéremment différents mais réunis par une même personne qui leur manque.

Un petit film qui se croque à pleine dent... A voir tant qu'il passe encore en salles!




Fin d'année au bord de mer

Plus de deux mois que je n'ai rien publié et ce n'est pas bon signe car cela veut dire que durant ce temps, le quotidien a repris le dessus et que je n'ai pas pris le temps de faire cette activité qui pourtant me fait du bien. Je n'ai pas pris le temps et je n'avais pas non plus l'énergie à cause de journées trop longues....

Ce petit blog reflète un peu mon équilibre finalement! Si j'ai des choses à raconter et que je les raconte c'est que je ne suis pas absorbée ailleurs!
Or il faut un peu de tout dans la vie!

J'ai eu la chance de m'échapper au bord de la mer pour Noel et j'ai envie de partager quelques photos.


 Le dépaysement fais beaucoup de bien.


Ajoutez le doux climat marin et du soleil et vous retrouvez.... de la sérénité....

J'espère que vous avez passé de bonnes fêtes et que l'année 2013 commence bien.